(Lire, écrire, en numérique)
Séance 1 – (faire connaissance) : se lire soi en train de lire.
Séance inaugurale d’un cycle de trois : présentation de notions : médiation littéraire (par le détail des activités de médiateur littéraire de Guénaël Boutouillet), liens serrés entre lecture et écriture, nécessité de penser par l’écriture son rapport à l’écriture et à la lecture, et plus largement, son énonciation de soi dans un contexte professionnel (l’écosystème du livre), et dans un environnement numérique mouvant.
1 – présentation(s)
… de chacun, de l’endroit d’où se formule ce cours, et de ses problématiques.
Appel, inscription par adresses courriel, invitation au blog formationslirecrire.wordpress.com/ , tour de table ouvert pendant les inscriptions : il est demandé aux étudiant(e)s
2- Comment c’est commencer (un livre) ?
Nous travaillons avec la question de que Jasmine Viguier s’est posée dans le cadre d’un dossier qu’elle prépare pour Mobilisons, revue de Mobilis, autour du mot « commencer ». Me disant que de parler de sa lecture, de son rapport à la lecture peut- être une bonne entrée en matière, d’écriture, d’énonciation, de publication, je soumets sa question, en version improvisée, changée, aux étudiants :
« – Quel état d’esprit vous habite alors que la première page n’est pas encore tournée, alors que vous prenez l’objet dans vos mains ? Qu’est-ce que vous en attendez ?
– Qu’est-ce qui retient votre attention (poids, la taille, le nombre de page, le graphisme de couverture, rien de tout ça…) ?
– Dans quelle situation/position aimez-vous commencer un livre : au calme chez vous, en transport, le soir, le matin etc… ?»
C’est donc l’exercice d’écriture, d’une écriture envisagée comme exploratoire et énonciative, pour poser des faits et des représentations d’où seront bâties les réflexions à venir.
Les textes sont à lire ici (en dessous).